[CR & Photos] Roc d'azur 2009

si vous voulez voir les phoos que j'ai prise au roc envoyer moi vous adrresse mail elle sont en lignes sur frick

Fait péter les tofs merde ... j'ai pas de Fric

je n'y arrive pas je suis passer sur mac et quand je fais copier coller il ne colle pas les liens et je n'est pas envie de tout me taper a la main

nouvelle marque de titane news cycling (lyonnaise ) en double butted
ils ont bien placer puisque un montage en xo pedalier noir et sid team sort a 3400 euros

Les cadres news cycling sont des XACD, ils sont passés par Skyde pour leur contact.
Le porte bidon qu'on voit est d'ailleurs l'ancien Demonchaux... C'est beau l'originalité.

Ptain j'ai à peine eu le temps de dire bonjour à Nico
Un peu plus vide que les autres années ce salon d'ailleurs.

Moi je l'ai vu, on a but de la pastèque en poudre

Tortuga a écrit:

Moi je l'ai vu, on a but de la pastèque en poudre

toi, tu as de la chance :D
Nous, lors du GRC, on avait bu de l'Ovomaltine à l'eau croyant boire le produit qui va bien de Nico (dont j'ai oublié le nom)

Le magik nocté !

Ced, balance les tofs des hôtesses

philou93 a écrit:

Tortuga a écrit:

Moi je l'ai vu, on a but de la pastèque en poudre

toi, tu as de la chance
Nous, lors du GRC, on avait bu de l'Ovomaltine à l'eau croyant boire le produit qui va bien de Nico (dont j'ai oublié le nom)

Je le prefére en barre ,ou avec du lait ...

Vu que le 95 boys restent muets sur le sujet, je m'y colle !

Nous partîmes donc vendredi en début d'AM de la région lyonnaise à la barre de la péniche blanche (la coachmobile). J'avais pris soin de monter à Racailleschool avec mon vélo dans le coffre et tout mon barda pour pouvoir aller direct chez le coach à la sortie du boulot. Le saucisson a d'ailleurs bien embaumé mon habitacle.

Une fois à Lyon, nous embarquons la maîtresse collègue du coach, qu'il avait présenté comme une vieille maniaque et acariâtre. Ben c'est pas vrai, méchant coach ! Direction Fréjus, à donf sur l'autoroute. Un trajet ponctué par l'envoi de quelques SMS humoristiques au zorg. Vers la fin du parcours, coach s'est pris d'un amour sans limites pour les sanisettes que l'on trouve sur les aires d'autoroute et s'est mis en tête de les tester TOUTES, aire après aire.

Arrivés à Fréjus, on vide le bazar, on retrouve le zombric et le gogo, puis on repart vers l'autre camping (ben oui on s'est démerdés pour avoir deux bungalows dans deux campings DIFFERENTS et DISTANTS) pour aller au resto. Une fois là bas, on se tape la montée de l'Alpe d'Huez à pinces pour aller au resto où horreur, il n'y a pas de pizzas ! Bon y a des frites congelées et de la bidoche... Le Flulle et le kangourou débarquent au moment où on attaque le dessert.

Je récupère mon petit déj acheté par le zorg. Retour à notre bungalow, quelques tranches de saucisson en guise de digestif et on se pieute. Les deux masters rejoignent leur suite, Madame logeuse va dans l'autre chambre et je finis sur la banquette dépliable Au réveil, on transite joyeusement vers la base nature pour récuperer nos plaques, c'est toujours le foutoir une fois sur place pour se garer. Récuperation des plaques, petit tour du salon où :
- on retrouve les 95 boys en pleine discussion avec Monsieur Dorcel, euh Darcel !
- on retrouve le stand Sobre avec le titane.
- on retrouve Nicolo mais il veut même pas faucher discrétos une pompe et un cintre pour nous et on boit de la pastèque chimique (les hôtesses à Nico elles sont quand même pas mal, surtout celle avec le short en jean).
- on retrouve plein de bordel, des vélos dans tous les sens, de la musique à la con sur la piste de dirt où les mecs se tapent des sacrés sauts.
- on retrouve Bibi Wet qui bricole des fourches.

Bref le salon c'est bien mais à petites doses, retour au camping. Zombric massacre mon sauciflard mais nous fait goûter ses pates alsaciennes, des Spatzeuleuh ou un truc du genre. Puis roupillage ! Au réveil, je me culturise en regardant les frères Scott (c'est vachement bien et les nanas elles sont canons). Sauf que zombric il essaie de dormir et il entend tout.... On glande jusqu'à l'heure du repas où on rejoint les autres à leur camping. Là ils m'ont forcé à faire la vaisselle !

Ptain je vous ai loupé au resto

Sinon on a mangé : des pâtes avec la bolo de mme Coach, du frometon, de la charcutaille, ... Ca manque un peu de sucré quand même
Retour à notre camping à nous et roupillage.
Réveil à 6h30 à cause de ce taré de coach , mangeage, montage des vélos (d'ailleurs il m'a tapé mon super Rock n Roll Extreme Lube tout bleu ) puis départ au Roc où on arrive LARGEMENT avant, merci pour le sommeil perdu . On poireaute 45 minutes comme des glandus. Zombric se faufile adroitement en début de vague, le renard. Un gusse trouve le moyen de crever avant le départ.

Puis c'est parti ! On se tape d'abord le S dans la prairie à fond les manivelles, je vois Flulle qui me déplace, puis c'est le passage sous le pont avec un mini mini bouchon (surtout vu la suite...), puis on arrive à la première montée qui avait été fatale à ma chaîne l'an dernier. Ben cette année elle tient

Alors là j'avais la moelle voire même le dinopower Bref je nique à tour de bras dans les côtes et je perd pas de temps en descente, je me tape parfois les traces les plus pourries en montée pour niquer les autes (oh ça y est j'ai joui ) bon enfin j'étais plutôt bien. Par contre j'étais en train de dépasser largement mes limites cardiaques habituelles... Dans la descente du Fournel je merde pas trop mais bon je finis tout de même à piedsPuis, le premier bouchon....
7 min à poireauter parce qu'en bas d'une descente c'est un peu raviné en dévers, bon l'attente est supportable... Y a quand même 5 ou 6 connards qui coupent à travers les buissons. Ca repart, puis on arrive à la montée de la Flûte.

Alors là j'ai tout niqué sur le vélo Là encore pour dépasser quelques ramollos je me suis tapé des bons zig zags dans les cailloux/ornières/etc, au sommet de la montée je suis à 185 puls. Descente de la Flûte, là y a un espèce de couillon en Ruche Charbone qui trouve le moyen de venir me chatouiller le cintre alors que MOI je tenais à peu près ma trajectoire, je me rattrape un peu juste aidé par un gentil militaire qui m'aide à m'arrêter (faut voir que sinon je lui rentrais dedans ).

Et là c'est le début de la galère, un serpent de casques et de tenues bigarrées (poétic attitude ) s'étend sous mes yeux, c'est le bouchon de la mort !
53 minutes à poireauter et à rôtir au soleil... Y a un gars qui s'est étalé plus bas, ils doivent l'évacuer et ont totalement bloqué la course. Pas d'itinéraire de délestage, rien... On est plusieurs centaines à s'entasser comme des glandus en plein milieu de la descente, y a quelques trous du cul qui coupent carrément à travers la garrigue au lieu de jouer le jeu . Je retrouve fiston à 5 m devant moi, en fait c'est lui qui a latté un gars qui voulait le passer, l'envoyant à l'hosto. Nan c'est pas vrai . Au moins on a pu profiter du paysage et du ballet des hélicos. Et on a appris par téléphone la victoire du Belge. J'ai balancé quelques coups de fil aux autres pour savoir où ils étaient mais pas de réponse. Honnêtement pendant l'attente je me suis demandé si je reviendrai l'année prochaine.

Le bouchon s'est très vite dissolu une fois que les coureurs ont pu repartir. J'ai séché le ravito suivant histoire de ne pas rester englué dans la masse de coureurs. Le truc c'est que j'avais aussi séché celui d'avant vu que je l'avais vu trop tard (en plus je voulais niquer coach) et je commençais à être limite en bouffe.

De plus je commençais à me sentir moins frais, l'attente au soleil m'avait pas trop réussi et je commençais à sentir les prémisses d'une crève. Peu avant le col du Bougnon mon Race King a commencé à se la jouer autodirectionnel dans les ornières, en fait il les parcourait dans toute leur largeur au lieu d'aller tout droit, signe d'une pression en baisse.... Après le bougnon je m'arrête enfin au ravito, bois leur truc bleu Powerade, bouffe deux trois trucs et me lance dans le changement de chambre.... Bon déjà ce putain de Race King il a des tringles bien serrées, et enfin cette connerie de pompe Topeak elle gonfle pas bien vite, encore 7 min de perdues Si Nico avait bien voulu me faucher une pompe Lezyne j'aurai torché ça en moins de deux.

En gros t'as bien fait de filer comme un gros connard au ravito ou je t'ai vu alors que je t'amenais un verre d'eau.
Là tu vois t'a atteint les les limites de mon humour.
Tout ça pour ça, ça en valait la peine.

Bon je repars, j'entends "Sylvaiiiiiiiin", je me retourne personne, je me retire, encore "Sylvaiiiin", je vois toujours personne, mais si mon barbu préféré, le zorg ! Ben il a niqué gogo quand même, il se bâfre au ravito. Après ce ravito j'étais de moins en moins frais, pourtant on avait bouffé la majorité du D+ mais je commencais à tirer la langue. Encore une belle côte, le coach m'appelle, je répond en continuant à niquer , cette fripouille est arrivée et m'attend (faut voir que lui il s'est pas tapé le mégabouchon !!!) , au sommet on bascule sur la mer, là je suis plus trop lucide dans mon cerveau et je commence à subir...
En bas c'est cette put$%$ de côte du lotissement, là jai dégusté, j'en ai fait une bonne partie à vélo mais vraiment au ralenti et juste avant le dernier virage à droite j'ai posé pied, j'en avais ma claque.... Me rappelait plus qu'elle était aussi longue la garce...
Tout en haut j'entend un accent bien familier, mais c'est Cameron le Kangourou qui pousse derrière moi !! "Hey dino j'ai cwevé 2 fois, j'étais devant Flowwent mais ce son of a bitch a pwofité de mes ennuis" (bon c'est pas exactement ça mais l'idée est là). Méchant kangourou il m'abandonne à mon triste sort . Au ravito suivant, il repart quand j'arrive, il nous reste plus que les petits coups de cul sympas à faire. Je tape une pompe à pied aux bénévoles histoire de ne pas avoir à me masturber la Topeak pedant 5 minutes vu que le Race King se dégonfle, je dois avoir une crevaison lente (faut voir que ma chambre de secours n'était pas de toute première fraicheur, elle doit avoir une dizaine de rustines ). Je regonfle bien le pneu, bouffe rapidos, repart. Puis plus tard, en descente sur le bitûme, PAF !!! La chambre a peté mais bien, faut que je remette l'autre (faut suivre, celle que j'ai enlevé après le Bougnon parce qu'elle se dégonflait). Bon je sais pas où elle est percée, je prie pour qu'elle tienne encore l'air jusqu'à l'arrivée, c'est reparti pour une séance de tripotage de Race King et de branlage de Topeak.

Message pour le zorg :
1 - j'ai pas vu que tu m'amenais un verre d'eau.
2 - j'étais en train de repartir et plus trop lucide donc c'est peut être pas la peine d'en faire tout un flan...

Tu te fouts de moi ?
Tu m'as répondu je vais te mettre 1/2 heure et tu t'es barré.
Qu'on se tire la bourre c'est drôle, mais à ce stade c'est pathétique.

le dino a écrit:

Bon je repars, j'entends "Sylvaiiiiiiiin", je me retourne personne, je me retire, encore "Sylvaiiiin", je vois toujours personne, mais si mon barbu préféré, le zorg ! Ben il a niqué gogo quand même, il se bâfre au ravito. Après ce ravito j'étais de moins en moins frais, pourtant on avait bouffé la majorité du D+ mais je commencais à tirer la langue. Encore une belle côte, le coach m'appelle, je répond en continuant à niquer , cette fripouille est arrivée et m'attend (faut voir que lui il s'est pas tapé le mégabouchon !!!) , au sommet on bascule sur la mer, là je suis plus trop lucide dans mon cerveau et je commence à subir...
En bas c'est cette put$%$ de côte du lotissement, là jai dégusté, j'en ai fait une bonne partie à vélo mais vraiment au ralenti et juste avant le dernier virage à droite j'ai posé pied, j'ai adopté la "Marmotte attitude" j'en avais ma claque.... Me rappelait plus qu'elle était aussi longue la garce...
Tout en haut j'entend un accent bien familier, mais c'est Cameron le Kangourou qui pousse derrière moi !! "Hey dino j'ai cwevé 2 fois, j'étais devant Flowwent mais ce son of a bitch a pwofité de mes ennuis" (bon c'est pas exactement ça mais l'idée est là). Méchant kangourou il m'abandonne à mon triste sort . Au ravito suivant, il repart quand j'arrive, il nous reste plus que les petits coups de cul sympas à faire. Je tape une pompe à pied aux bénévoles histoire de ne pas avoir à me masturber la Topeak pedant 5 minutes vu que le Race King se dégonfle, je dois avoir une crevaison lente (faut voir que ma chambre de secours n'était pas de toute première fraicheur, elle doit avoir une dizaine de rustines ). Je regonfle bien le pneu, bouffe rapidos, repart. Puis plus tard, en descente sur le bitûme, PAF !!! La chambre a peté mais bien, faut que je remette l'autre (faut suivre, celle que j'ai enlevé après le Bougnon parce qu'elle se dégonflait). Bon je sais pas où elle est percée, je prie pour qu'elle tienne encore l'air jusqu'à l'arrivée, c'est reparti pour une séance de tripotage de Race King et de branlage de Topeak.

On reconait bien là le Dino , plus cher de rustines que de chambre à air

Tribal a écrit:

philou93 a écrit:

Tortuga a écrit:

Moi je l'ai vu, on a but de la pastèque en poudre

toi, tu as de la chance
Nous, lors du GRC, on avait bu de l'Ovomaltine à l'eau croyant boire le produit qui va bien de Nico (dont j'ai oublié le nom)

Je le prefére en barre ,ou avec du lait ...

Ben moi aussi
mais chez les kangourous ou du moins celui qui est venu jusqu'en Suisse (et au Roc d'après le Cr du Dino), c'est à l'eau

J'ai déplacé le Dino CR dans ce sujet.

EDIT : J'adore toujours autant les Dino CR

ça c'est sûr ça vaut son pesant de cacaouhètes