Transvésubienne 2013

Première fois que je l'ai fais en marchant dans la neige et sous la neige...
Jamais vu un terrain aussi humide, ou peut être dans les Everglades en Floride...

La prochaine fois que je vous dis que j'y vais, je compte sur vous pour me rappeler de ne pas le faire...

A suivre...

Je suis sur la vidéo





De dos dans le sas de départ

Ah !

Aller un début de CR aussi.
Vendredi j'arrive avec Antoine à Nice. On est passé par Nice pour trouver des chaussettes étanches et des gants hiver !
Antoine prendra une paire de Sealskinz, et finalement je ne prendrais pas de gants hiver. Ce sont des Endura en magasin... J'en ai déjà une paire et moins chère...
On passe chez neway récupérer nos plaques. J'en profite pour faire purger mon frein arrière que je trouve un peu mou depuis le raid des CDS. 27 euros pour 15 min d'intervention !
Zont vu venir le participant vache à lait de la Transvésubienne !
Arrivé à la Colmiane, je dépose Antoine à son appart et je descend au mien (ça c'est de l'organisation...).
Je retrouve Lasouque, et 2 potes à lui (Pax et Cyril sur VV).
On dine avec des pâtes :-)

Samedi réveil, il pleut dehors. Et ça pèle aussi ! On est bien dans le sud !
Je commence à dire que je ne ferais probablement pas le prologue si c'est pour tremper les chaussures qui ne seront jamais sèches pour le
lendemain.
Ca fait un peu caca mou dans l'appart et les 3 autres partent vers St Martin pour voir s'ils ne trouveraient pas d'autres pneus, une veste de pluie, bref des équipements spécials sud.
Laousque et Pax passent chez Mavic faire réviser leurs Xmax.
Le prologue va être raccourci.
Un peu plus tard les premiers ne mettraient plus que 8-9 min pour le faire.
Tient il neige maintenant. Des beaux gros flocons même. Ca ne tient pas à la Colmiane mais ça blanchi sur les hauteurs vers 1600-1700 m.
Je met du NoTubes dans les pneus à la place des chambres à air.
Le prologue est finalement annulé. Il pleut ou neige suivant les moments, la t° est proche de 0°.
Lasouque et Pax sortent quand même faire un petit tour sur route pour faire tourner les jambes.
Plein de courage j'allume la TV et me vautre dans le canapé.
A 18h30 on écoute le briefing depuis le balcon de l'appart. Il pleut et ça pèle, en plus il y a du vent.
On retient quelques modifications d'itinéraire pour qu'on arrive à Nice avant la nuit, Georges nous annonce 30 min de marche dans la neige. Il conseil à ceux qui n'ont pas de chaussettes chaudes de s'en découper une paire dans leur couverture de survie afin de ne pas perdre un pied gelé en route.
Aussitôt dit, aussitôt réalisé par Pax et Cytil. Perso j'ai mes Sealskinz dans mon kit de vêtements spécial sud. Mais uniquement des gants longs été.

Georges précise que les secours sont essentiellement héliportés sur le parcours et qu'il ne faut pas les appeler pour rien. Il y va de sa petite anecdote quand il s'était cassé et retourné un doigt dans la descente du Brec. Un peu de scotch pour tenir le tout et il avait finit la descente. Je me dis que j'ai bien fait de prendre un rouleau de scotch
US dans le camel des fois que je me casse un bras....
On prépare les camels, on compare nos boissons et gels énergétiques.
On dine avec des pâtes :-)
On se demande comment s'habiller jusqu'au couché à 21h30.

Dimanche réveil à 4h30, on voit des étoiles dans le ciel, et il ne pleut pas. Ouf !
On ptit déjeune, caca de la peur, on part limite en retard car Georges veut nous faire partir rapidement pour qu'on se caille pas trop sur la ligne de départ.
J'ai récupérer les clefs de l'appart pour m'alourdir un peu car tout le monde pense que j'arriverais le premier.
Je suis en première vague, les premiers sont à la bourre bien sûr. Je serais en 3ème ligne. Il est 6h00.
Tout le monde est placé. On attend le départ.
Pax arrive en panique en me demandant les clefs car il pense avoir oublié sa poche à eau dans l'appart ! Le soir il nous dira que finalement il s'est rendu compte qu'il l'avait mais que le tuyau pendant dans son dos.
Je me caille un peu les mains malgré les sous gants. En cherchant un truc dans le camel je laisse tombé un sous gant au sol. Sol trempé bien sûr donc sous gant trempé. Je les laisse dans le camel du coup. Georges annonce un départ dans 5 min, j'ai froid mais j'enlève le coupe vent car la première montée devrait me réchauffer.
Je me dis que j'ai le temps d'ouvrir mes emballages de barre de céréales, puis Gorges annonce le départ dans 1 min. A peine le temps de refermer ma pochette de barres
que ça part. Faudra qu'il change de chrono. Il est 6h27, ben on s'est bien caillé pendant 27 min debout sur la ligne de départ dans le froid.
Il fait -3°c.
La vague suivante partira 6 min après, bien plus rapide comme mise en grille !

Départ à la con dans une descente en herbe glissante avec des chicanes, je n'ai qu'une idée ne pas me faire shooter par un autre participant. Du coup je sors de la descente dans les derniers de ma vague.
Et on attaque la première montée sur piste bien ravinée et raide. Avec les jambes bien froides, ça pique.


To be continued...

J'ai trouvé ça pour compléter ton CR

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The suite !

Je me dis qu'il faut quand même accélérer un peu dans cette montée de départ pour ne pas être trop mal placé dans le premier single en crête que je pense glissant.
J'accélère donc, enfin avec des jambes froides et des roues de 29...
Et j'enrhume Sauser qui doit avoir l'impression d'être arrêté quand je le double !
(et c'est le cas car il a crevé juste en bas de la côte ).

J'en passe un max sur le vélo, sauf un petit virage car trop de monde qui ne roule pas assez vite. Et avec le 22-36 et les roues de 29 j'ai du mal à rouler à faible allure.
Je remonte pas mal en ce début de côte.
On arrive dans la neige, il commence à neiger.
C'est beau j'aime bien ce décors. Mais je me gèle bien les mains aussi.
Là ça commence à pousser quand la côte devient trop raide avec la neige, difficile de rester sur le vélo. Même si le Racing Ralph 2.25 arrière m'étonne par sa motricité, dans ces conditions le 29 est à son avantage si on a les jambes pour l'emmener.
Tiens un cheval qui se ballade ! Que fait-il seul à 1800 m d'altitude ??

On arrive au début du chemin de crêtes, Christophe Sauser me double. Il ne va pas si vite finalement, je me dis même que je pourrais le suivre environ 5 min avant de lâcher...
Ce chemin passe habituellement sur le vélo, certes au prix de quelques efforts. Mais là on en passe 95% à pied dans la neige.
Derrière il y a déjà un petit trou.
On commence à doubler les VAE qui en chie un peu pour pousser leurs lourds vélos dans la neige.

Quand on remonte sur le vélo je me rend compte que les vitesses passent difficilement, je pense que le câble à peut être gelé dans la gaine.
On arrive sur une partie plus roulante, plus large, avec moins de neige et en légère montée. Je veux remonter sur le groupe devant mais je n'arrive plus à changer de vitesse.
La chaine reste dans le bas de la cassette. Sur le 36 ça tire trop gros et difficile de garder le cap dans cette portions humide, avec encore de la neige. Sur le 22 j'avance mais pas aussi que je le pourrais.
Je rejoins enfin le groupe. Un coup de cul et le single est maintenant roulable. Plus de neige mais très humide, devant moi le gars n'est pas très à l'aise sur les racines. Forcément en dévers qui t'envoie dans le trou quand tu glisse. Mais sans freiner dessus et en allégeant ça passe plutôt bien.
Je fais une pause pour baisser la pression dans les pneus et ralentir la détente car la fourche me ballade un peu sur les chocs isolés.

On arrive à la première descente. A la faveur de franchissement de tronc à pied et de coupe de mes prédecesseurs dans les premières épingles je me retrouve un peu seul. Et tant mieux, personne pour me gêner devant et personne pour me pousser derrière.
La descente est très humide, ça glisse mais en ne freinant pas trop ça passe relativement bien. Puis ça se transforme en ruisseau et ça devient plus compliqué ! Je ratrappe 2 gars pas à l'aise du tout, et sans un minimum de vitesse on glisse dans tous les sens. Je manque de m'en mettre une en faisant l'intérieur dans une épingle.
Du coup quand ça va trop lentement je préfère passer à pied comme les autres. Un petit nous double à une vitesse étonnante.
La suite passe correctement, ça me rappelle un peu les descentes dans le Jura mais en plus humide ! On roule dans un ruisseau, difficile de faire plus humide... mais au moins presque pas de boue !

On arrive à un coup de cul, les vitesses ne passent toujours pas !
Je me dis pourtant que ça aurait du dégeler depuis le temps. Je monte à pied car le braquet dispo est trop gros mais relativement vite puisque les gars en vélo derrière ne me double pas.
En haut je fais une pause pour voir ce qu'il en est et resserrer le garde boue qui se ballade.
Je met un moment à me rendre compte qu'en fait la gaine s'est défaite de la butée avant ! Probablement lors d'un portage sur l'épaule. Je tire comme un âne sur le câble pour remettre tout ça en place. Je re-règle rapidement le dérailleur que j'avais dérégler en retendant le câble au shifter... Resserre le garde boue et enfin je repars sur le vélo !
J'ai vu une bonne 20aine de concurrents passer.

Puis arrive le portage du Brec d'Utelle, en effet j'ai été moins vite que les autres années avec toute cette marche dans la neige. Je retrouve Pascal avec son tout rigide carbone.
Le portage passe bien, il n'est pas bien dur et même si le paysage est bouché la vu est très belle. Un clair obscur avec un ciel noir, un rayon de soleil dans la vallée, de la brume, irréel et très beau.

Belle perf fabien.

Pour la version sur 2 jours, si j'ai tout compris le samedi on monte par les cretes à l'est et le dimanche on passe par l'ouest ( comme cette année) et le parcours pourrait etre le meme jusqu'a Utelle car pas d'autre solution. la source est un locale avec qui j'ai discuté durant le briefing de samedi.

J'ai entendu pleins de choses aussi mais bon. Tant que rien n'est fixé on peut faire pleins d'hypothèses. Enduro + TransV ? Une TransV réellement sur deux jours ? Cette dernière option me plairait et me motiverait à me réinscrire mais je ne me fais pas trop d'illusions.

Bon alors la suite du looooooong CR


L'homme au vélo carbone tout rigide passe devant dans la descente du Brec. Je me retrouve derrière un branquignol en Rocky Mountain rouge qui parle pas le français et pilote comme un abruti. Enfin piloter est un grand mot, il se traine lamentablement dès que ça tourne et avionne comme un goret dès qu'il y a un bout de droit...
Je vois donc l'homme aux bras d'acier prendre le large !
Dommage sinon sympa la descente. Je finis par doubler le bras cassé en le balançant dans le ravin. Bon en fait il s'arrête pour vérifier son amorto et je passe.
On roulotte pour arriver à la montée de la Madonne. Ca passe sur le vélo, mais je me rends compte que je ne vais pas beaucoup plus vite que les gars qui portent et coupent les virages. Alors je fais de même pour ne pas trop me crâmer à monter sur le vélo.

J'arrive au ravito et je retrouve Pascal. On le même soucis, on doit nettoyer nos lunettes sinon on y voit plus grand chose avec la boue..
Il repart avant moi, je fais une vidange et je ne le vois plus.
Bon le début de la descente de la Madone est déjà très casse gueule sur le sec alors sur terrain humide je ne tente pas !
La suite est pas évidente non plus difficile de remonter sur le vélo car on glisse super vite sur les pierres lisses.
Enfin la piste ! On va pouvoir rouler !

Puis on arrive à la descente de Pont de Cros. Très humide !
Un beau passage dans un tunnel naturel. Passage précédé par une marche plus ou moins haute. Le terrain me semblant plus dégagé à droite je la prend de ce côté en sautant. Mais je n'ai pas bien fait attention à l’arbrisseau à ma droite. Le cintre se prend dedans et vlan Fabien par terre. Plus de peur que de mal, mais les 2 qui me suivaient semblaient inquiets. Vive les cintres larges, pourtant recoupé à 680 mm au lieu de 720 mm, ce qui le rend plus utilisable.

On arrive au pont. La remontée vers Levens. Je passe plein de trucs sur le vélo au début, vive la motricité du 29 pouces. Par contre ça use alors je redevient raisonnable et porte ou pousse.
Après un coup de mou ça commence à aller mieux, j'ai bien fait de bien manger au raivto de la Madonne.
Je double plein de monde et retrouve Pascal, puis la première féminine.

Enfin la déchetterie de Levens. Finalement cette montée d'une 20aine de minute m'a paru assez courte. Les sensations sont bonnes.
Je passe pas mal de petits trucs sur le vélo dans les coups de cul ou les portages après Levens.

Là le parcours change. On passe par le col du travail. Au début du changement d'itinéraire je retrouve Levens dans un portage. Et heureusement ! Car il me préviens alors que j'ai commencé à descendre sur une piste qui n'est pas la bonne. Quelques minutes de perdues à cause d'un fléchage manquant.
On arrive au col du travail, j'ai laissé Levens et je suis avec Nadine Sapin.

Puis la route pour monter au Mt Chauve. Je suis bien, je roule bien et je double encore 4-5 gars qui semblent arrêtés.
Et hop j'attaque la descente du Mt Chauve. Le début passe plutôt bien mais je sens bien mes bras. Je pense à la fatigue mais en fait j'ai oublié de remettre la fourche en position ouverte et non à moitié bloquée...
Une fois débloquée ça va mieux !
Mais la fatigue est là et 2-3 erreurs dont une qui m'envoie dans la végétation me font lever le pied et même marcher un peu. Trop près de l'arrivée pour me faire mal !

Après le Mt Chauve on a droit au chemin à la con en bas, plein de pierres plantées dans la terre, et cette fois humide/boueux.
C'est un apéritif au vrai passage merdique, sans intérêt de la TransV, la fameuse jungle.

Ben finalement la première descente passe mieux sur terrain humide que sec, on a plus d'adhérence. Le bas a été mieux dégagé que la dernière fois et on voit presque le chemin entre les herbes.
On passe dans un marigot avec 10-15 cm de flotte. Puis les mini coups de cul boueux de 2-3 impassables sur le vélo. Il faut soit se faire aider, ce qui sera le cas avec Levens pour le plus profond, soit jeter le vélo en haut et s'accrocher aux arbres pour monter. Quelle merde !

Je manque de m'en mettre dans des marches à la con à côté d'un grillage et on récupère le bitume de Nice.

Pas trop mal organisé avec des gars pour presque nous indiquer où il faut aller. Un gars en vélo de ville discute un petit peu avec moi en roulant à mes côtés, sympa !
On prend un bout des berges du Paillon histoire de rouler un peu dans les ordures, je crains de crever avec le verre cassé et les bouts de plastiques qui traine. A priori c'est une constante chez Gorges, soit on passe dans des égouts soit dans les ordures, peut être qu'il devrait en parler à un psy ?
Puis le tunnel de 3 km qui parait interminable et enfin la ligne d'arrivée et 300 m plus loin la promenade des anglais. 8h13 de déplacement et 30 min de pause

Je lave le vélo, récupère mon sac de fringues de change et me lave au robinet d'eau froide la plage en plein vent. Tout ça sous l'oeil lubrique de touristes asiatiques, mais je garde mon boxxer !
Et je perds ma montre GPS.
Je bouffe 2 assiettes de pâtes trop cuites mais ça fait du bien.

J'ai bien fais de prendre un bonnet, une polaire et un coupe vent, ça pèle en plein vent dans le sud à cette époque !

On remonte en navette à la Colmiane pour refaire la course. Je dormirais bien mais le paysage des gorges de la Vésubie est très beau.


Et voilà un 3ème sticker.

Mon CR était long ? Ben la course aussi !

Nickel ! T'as pas cassé ta fourche mais t'as trouvé le moyen de paumer ta montre GPS...

C'est marrant mais quand on lit ton CR ça donne vraiment pas envie d'y aller...

le dino a écrit:

C'est marrant mais quand on lit ton CR ça donne vraiment pas envie d'y aller...

...

le dino a écrit:

C'est marrant mais quand on lit ton CR ça donne vraiment pas envie d'y aller...

Ca prouve une certaine intelligence de ta part
A mon sens cette course n'a pas vraiment d'intérêt sur une journée en conditions de course. Seul intérêt se prouver qu'on peut la faire et éventuelle cerise sur le gâteau se la péter sur les forums en disant que finalement c'est pas si dur


Mais le coin est beau !

wwwfabien a écrit:

le dino a écrit:

C'est marrant mais quand on lit ton CR ça donne vraiment pas envie d'y aller...

Ca prouve une certaine intelligence de ta part
A mon sens cette course n'a pas vraiment d'intérêt sur une journée en conditions de course. Seul intérêt se prouver qu'on peut la faire et éventuelle cerise sur le gâteau se la péter sur les forums en disant que finalement c'est pas si dur


Mais le coin est beau !

On se dit tous ca mais on y retourne

Oui mais moi je suis très con quand même !

Enfin il me faut bien 2-3 ans à chaque fois pour y retourner et me dire "tiens peut être qu'avec un 29 pouces ça serait moins chiant ?" ou "et avec un endurigide ça doit faire ? Ca doit être moins dur dans les portages, faut que je teste" ou "Ptain il me faut une motivation pour m'entrainer, tiens si je m'inscrivais à la course à la con dans le sud ?"

Pareil, mais je crois quand meme que c'est la derniere fois, eh oui je prends de l'age.

Mais la version sur 2 jours me tente aussi, en fonction du format, un beau troc pour mes 45 ans

Tiens question HS on

il y en a qui vont à la granit

HS off

wwwfabien a écrit:

A mon sens cette course n'a pas vraiment d'intérêt sur une journée en conditions de course. Seul intérêt se prouver qu'on peut la faire et éventuelle cerise sur le gâteau se la péter sur les forums en disant que finalement c'est pas si dur !

J'aime bien cette analyse

wwwfabien a écrit:

Mais le coin est beau !

A faire sur deux jours entre potes en profitant des paysages.

Tu dis qu'un gars a fait ça avec un tout rigide ben bonjour les poignets!

laumi95 a écrit:

(...)
Tiens question HS on

il y en a qui vont à la granit

HS off

Pas cette année pour moi, je vais au Raid Vauban.
Philou93 voulait aller à la Granit.

Supersonicus a écrit:

(...)

wwwfabien a écrit:

Mais le coin est beau !

A faire sur deux jours entre potes en profitant des paysages.

C'est comme ça qu'on apprécie vraiment le coin.

emalyg a écrit:

Tu dis qu'un gars a fait ça avec un tout rigide ben bonjour les poignets!

Yep un tout rigide carbone et single speed !
J'ai roulé un peu avec lui à Fontainebleau, Seb roule souvent avec lui et on l'a vu dans ses photos de sorties à Bleau.

Yep un tout rigide carbone et single speed !
J'ai roulé un peu avec lui à Fontainebleau, Seb roule souvent avec lui et on l'a vu dans ses photos de sorties à Bleau.
Il a du avoir des moments chauds quand même

Non, même pas Sur le plan technique. Physiquement il m'a dit avoir marqué le pas dans le dernier tiers de la course mais rien d'anormal sur ce genre de course.
Il finit pas trop loin de Fabien en 9h05.

Il est impressionnant ce gars là. De quoi te faire revoir toutes tes idées reçues quand tu le vois rouler.
Après, y'a pas de mystère, il s'est bien préparé. Il a beaucoup roulé en amont. Et techniquement il a aussi passé beaucoup de temps à se perfectionner à Bleau et en montagne. Il en est même à s’entraîner à sauter les même hauteurs que moi en TS. Rien d'extra-ordinaire (1m 1m50) mais en TR il faut le faire.

Il prépare un CR. Je le mettrai en lien ici quand ce sera le cas.

@ Laumi : pas de Granit'Boue Montana pour moi non plus. Cette année est une année "sans" pour moi.
Mes seuls projets sont des voyages à vélo cet été.